Aller le long des routes nantaises pieds nus.
Déambuler sur la tiédeur du bitume en écoutant Gainsbourg, Brel ou Coltrane.
Déambuler sur le calme de la terre, se figer l'espace d'un pas et de quelques secondes- Le vent repasse
Je t'en pris ne sois pas farouche,
Quand me viens l'eau à la bouche
Et on se découvre avec horreur, chaque jour on se voit comme un monstre, une tare de plus, et chaque jour je les comprends d'avantage. Et pourquoi ça s'acharne ? On vois les autres, et chaque jour on les envie d'avantage, on se demande pourquoi c'est tout pour nous .
Puis finalement on oublie tout au contact d'un sol chauffé par les projecteurs, on se laisse porter par une excitation générale, on se laisse porter par cette cohésion, cet esprit qui nous unis tous.
UN,DEUX, UN, DEUX, TROIS ,QUATRE !
Et le reflet nous rattrape.
Déambuler sur la tiédeur du bitume en écoutant Gainsbourg, Brel ou Coltrane.
Déambuler sur le calme de la terre, se figer l'espace d'un pas et de quelques secondes- Le vent repasse
Je t'en pris ne sois pas farouche,
Quand me viens l'eau à la bouche
Et on se découvre avec horreur, chaque jour on se voit comme un monstre, une tare de plus, et chaque jour je les comprends d'avantage. Et pourquoi ça s'acharne ? On vois les autres, et chaque jour on les envie d'avantage, on se demande pourquoi c'est tout pour nous .
Puis finalement on oublie tout au contact d'un sol chauffé par les projecteurs, on se laisse porter par une excitation générale, on se laisse porter par cette cohésion, cet esprit qui nous unis tous.
UN,DEUX, UN, DEUX, TROIS ,QUATRE !
Et le reflet nous rattrape.