Lundi 29 juin 2009 à 1:50

Aller le long des routes nantaises pieds nus.
Déambuler sur la tiédeur du bitume
en écoutant Gainsbourg, Brel ou Coltrane.
Déambuler sur le calme de la terre, se figer l'espace d'un pas et de quelques secondes- Le vent repasse

Je t'en pris ne sois pas farouche,
Quand me viens l'eau à la bouche




Et on se découvre avec horreur, chaque jour on se voit comme un monstre, une tare de plus, et chaque jour je les comprends d'avantage. Et pourquoi ça s'acharne ? On vois les autres, et chaque jour on les envie d'avantage, on se demande pourquoi c'est tout pour nous .

Puis finalement on oublie tout au contact d'un sol chauffé par les projecteurs, on se laisse porter par une excitation générale, on se laisse porter par cette cohésion, cet esprit qui nous unis tous.
UN,DEUX, UN, DEUX, TROIS ,QUATRE !

Et le reflet nous rattrape.

Par Distantwaves le Lundi 29 juin 2009 à 17:07
La détente et l'oubli, les regards de connivence, les rires, et la musique qui vole et qui t'empreint de bonheur, la cohésion parfaite entre les membres d'un groupe, et le sourire de simple contentement d'être les seuls à avoir trouvés un autre langage. Ton texte est extrêmement vrai, dans la moindre virgule. Je suis heureux de te savoir parmi nous, mon vieux.
Par http://www.unifroid.fr le Mercredi 27 juillet 2016 à 2:53
Et dans un mouvement plutôt curieux tout se rejoint.
Par Ugg Pas Cher le Mardi 11 octobre 2016 à 5:30
J'aime ces moments dans lesquels tout converge.
 

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